© Open Tuning / NC La 1ère
Ce mardi 21 septembre, Nouvelle-Calédonie La 1ère proposera un nouveau numéro d'Itinéraires comprenant la diffusion d'un documentaire inédit de Philippe Buston, "Nos vies si distantes" qui propose de suivre le quotidien de quelques jeunes, pendant le confinement de la fin d’année 2020, mais également dans les mois qui suivent, jusqu’à leur départ pour la Calédonie.
Ils s’appellent Morganne, Fiona, Charles, Claude, Lola, et Serge. Ce sont des étudiants calédoniens partis en métropole pour obtenir un diplôme, découvrir d’autres horizons, d’autres cultures.
Loin de leurs familles et parfois sans ressources, ils sont pris dans la tourmente de la pandémie de Covid-19 avec ses malades et ses morts, ces frontières qui se ferment et ces confinements qui se suivent et ne se ressemblent pas.
Démunis face à cette situation, ils se retrouvent grâce à un groupe sur les réseaux sociaux, « Étudiants calédoniens en métropole ». Ils y sont nombreux à échanger des informations et des conseils, notamment pour pouvoir rentrer au pays à la fin de leur année scolaire, ce qui reste extrêmement difficile.
Nous les avons rencontrés dans l’intimité de leur logement ou dans les rares activités qu’ils peuvent mener à l’extérieur. Ils nous parlent de leur désarroi face à cette pandémie et des solutions qu’ils mettent en place pour garder le moral et ne pas tout abandonner.
Ils s’appellent Morganne, Fiona, Charles, Claude, Lola, et Serge. Ce sont des étudiants calédoniens partis en métropole pour obtenir un diplôme, découvrir d’autres horizons, d’autres cultures.
Loin de leurs familles et parfois sans ressources, ils sont pris dans la tourmente de la pandémie de Covid-19 avec ses malades et ses morts, ces frontières qui se ferment et ces confinements qui se suivent et ne se ressemblent pas.
Démunis face à cette situation, ils se retrouvent grâce à un groupe sur les réseaux sociaux, « Étudiants calédoniens en métropole ». Ils y sont nombreux à échanger des informations et des conseils, notamment pour pouvoir rentrer au pays à la fin de leur année scolaire, ce qui reste extrêmement difficile.
Nous les avons rencontrés dans l’intimité de leur logement ou dans les rares activités qu’ils peuvent mener à l’extérieur. Ils nous parlent de leur désarroi face à cette pandémie et des solutions qu’ils mettent en place pour garder le moral et ne pas tout abandonner.
