Le mardi 9 novembre dés 20h00, Nouvelle-Calédonie La 1ère programmera "Maxha, relever la tête" un documentaire inédit d'Emmanuel Tjibaou et Nunë Luepak.
Il était une fois une promesse. Celle faite à l’issue du festival Mélanésia 2000. Une fois que les kanak auront « relevé la tête », ils pourront inviter les autres ethnies du pays à entrer dans leur case… Cette promesse, Emmanuel Tjibaou et Nunë Luepak, réalisateurs du film, ont tenu à l’honorer.
Une voix, celle d’une conteuse Kunié, qui ouvre et clôt le film dans une des plus anciennes langues du Sud. Une histoire, celle de la rénovation de la grande case du Sud du Centre culturel Tjibaou. Une invitation, celle de fonder un espace commun où chacun peut trouver sa place et être fier de son identité. Le film MAXHA nous entraine dans le sillage de cette aventure.
Plus de 20 ans après sa création, le Centre culturel Tjibaou rénove sa grande case du Sud. Pour cela, le chemin coutumier doit être fait auprès des propriétaires terriens, les clans du Sud, la grande chefferie de Saint-Louis. L’idée d’ouvrir ce chantier symbolique et sacré à toutes les ethnies est validée. Le chantier peut débuter, avec la participation de tous, et la grande case est inaugurée en début d’année.
Chaque communauté, indonésienne, wallisienne, européenne, etc. a déposé un ou deux objets qui la représente dans le panier des richesses, un endroit sacré dans la case. Un moment chargé d’émotions, notamment pour les associations représentant les pionniers, qui sont désormais assis dans la case. Le chemin commun est là. Ensemble dans la case. Pour tous ensemble, enfin, « relever la tête » : Maxha, en langue fwâi de Hienghène.
"Maxha, relever la tête" est à retrouver le 9 novembre dés 20h00 sur Nouvelle-Calédonie La 1ère.
Il était une fois une promesse. Celle faite à l’issue du festival Mélanésia 2000. Une fois que les kanak auront « relevé la tête », ils pourront inviter les autres ethnies du pays à entrer dans leur case… Cette promesse, Emmanuel Tjibaou et Nunë Luepak, réalisateurs du film, ont tenu à l’honorer.
Une voix, celle d’une conteuse Kunié, qui ouvre et clôt le film dans une des plus anciennes langues du Sud. Une histoire, celle de la rénovation de la grande case du Sud du Centre culturel Tjibaou. Une invitation, celle de fonder un espace commun où chacun peut trouver sa place et être fier de son identité. Le film MAXHA nous entraine dans le sillage de cette aventure.
Plus de 20 ans après sa création, le Centre culturel Tjibaou rénove sa grande case du Sud. Pour cela, le chemin coutumier doit être fait auprès des propriétaires terriens, les clans du Sud, la grande chefferie de Saint-Louis. L’idée d’ouvrir ce chantier symbolique et sacré à toutes les ethnies est validée. Le chantier peut débuter, avec la participation de tous, et la grande case est inaugurée en début d’année.
Chaque communauté, indonésienne, wallisienne, européenne, etc. a déposé un ou deux objets qui la représente dans le panier des richesses, un endroit sacré dans la case. Un moment chargé d’émotions, notamment pour les associations représentant les pionniers, qui sont désormais assis dans la case. Le chemin commun est là. Ensemble dans la case. Pour tous ensemble, enfin, « relever la tête » : Maxha, en langue fwâi de Hienghène.
"Maxha, relever la tête" est à retrouver le 9 novembre dés 20h00 sur Nouvelle-Calédonie La 1ère.
