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« Quand j’étais petite… je me souviens… » : un voyage tendre et vibrant dans l’enfance martiniquaise des années 1960-1970


Publié le Vendredi 14 Novembre 2025 à 11:02

              


Un récit vibrant de souvenirs qui dévoile, avec tendresse et justesse, une enfance martiniquaise des années 1960-1970.


« Quand j’étais petite… je me souviens… » : un voyage tendre et vibrant dans l’enfance martiniquaise des années 1960-1970

Les Éditions Jets d’Encre publient Quand j’étais petite… je me souviens…, le premier récit autobiographique de Thérèse Amélie Augustine, une plongée sensible au cœur d’une Martinique rurale aujourd’hui en grande partie disparue. À travers une écriture intime et généreuse, l’autrice ravive les souvenirs de son enfance passée dans le quartier Épinay, à Sainte-Luce, entre traditions, croyances populaires et profond attachement à la terre antillaise.


Une mémoire vivante des Antilles d’hier


L’ouvrage s’ouvre sur une invitation douce, celle d’un compagnon qui encourage l’autrice à mettre ses souvenirs en mots. De là, Thérèse Amélie Augustine remonte le fil du temps pour raconter les années 1960-1970 en Martinique : la rivière où résonnaient les éclats de rire des enfants, les odeurs sucrées de la canne fraîchement coupée, les saveurs du jardin créole ou encore les repas mijotés au feu de bois.

Ces scènes du quotidien composent une véritable fresque sensorielle, où se mêlent fêtes religieuses, peurs enfantines, contes de quimbois et jeux improvisés. L’autrice évoque aussi les absences, les silences, les moments de fragilité qui marquèrent son parcours d’enfant.


Traditions, transmission et complexité identitaire


À travers ses souvenirs, la narratrice interroge également la question de l’assimilation dans l’école de l’époque : enseignement des quatre saisons européennes – alors que les Antilles n’en connaissent que deux –, ou encore le célèbre « Nos ancêtres les Gaulois ». Un témoignage lucide qui souligne combien certains mécanismes persistent encore aujourd’hui.

L’ouvrage devient ainsi un outil de transmission, une manière de préserver les traces d’un monde rural antillais voué à s’effacer, et de célébrer une culture profondément ancrée dans les paysages, les rites et les mémoires.


Une autobiographie à la fois intime et universelle


Avec justesse et tendresse, Thérèse Amélie Augustine signe un récit d’enfance qui dépasse le cadre personnel pour toucher à l’universel : celui des racines, des traditions et des transformations sociales. L’autobiographie, publiée par les Éditions Jets d’Encre, est disponible dans toutes les librairies au prix de 16,90€.



Ludovic Belzamine
Rédacteur en chef de Megazap.fr depuis 15 ans. En savoir plus sur cet auteur


1.Posté par Thérèse Amélie AUGUSTINE le 22/11/2025 04:52 | Alerter
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Bonjour Monsieur Belzamine,
Je suis très touchée par votre article et je vous en remercie.
Bien à vous.
Thérèse Amélie AUGUSTINE

2.Posté par Ludovic Belzamine le 24/11/2025 15:54 | Alerter
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Bonjour,

Merci pour votre message

Nous vous remercions également pour la sortie de votre livre

Cordialement

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