Ce jeudi sur le Portail Outre-Mer La 1ère sera proposé un nouveau numéro de "Outre-Mer et si on bougeait les lignes" présenté par Karine Zabulon qui sera consacré aux problèmes de l'habitat.
Bidonvilles à Mayotte et en Guyane, squats à Nouméa, habitat ancien et dégradé aux Antilles et à La Réunion... Partout, des milliers de familles vivent dans des taudis.
Pour tenter d’y voir clair dans ce maquis où interviennent collectivités locales, État, bailleurs sociaux, promoteurs, associations, « Outre-mer, et si on bougeait les lignes ? » et les rédactions du Réseau La 1ère sont allés à la rencontre des acteurs du dossier, à commencer par les premiers concernés, les mal-logés.
Les responsables politiques affirment – unanimes – depuis des décennies que le sujet constitue pour eux une priorité. Cependant, en dépit des plans nationaux et locaux, le problème ne disparaît pas. Dans certaines communes, au contraire, il empire.
L’offre de logement social est insuffisante pour répondre à la demande de ceux qui peuvent y prétendre et le rythme des constructions nouvelles décroît.
Foncier insuffisant par endroits, problèmes d’indivisions fréquents, surcoût des matériaux importés, normes nationales inadaptées, les données du problème sont variées.
Au programme, des invités dont Matthieu Hoarau, Directeur - Agence Île de La Réunion/Océan Indien à la Fondation Abbé Pierre et Caroline Lleu-Etheve, Chargée de développement Outre-mer - Compagnons bâtisseurs.
Mais aussi un débat sur le sujet avec Mahieddine Hedli, Directeur à l'Outre-mer de l'Union sociale de l'habitat (USH), Sophie Charles, Maire de Saint-Laurent-du-Maroni et trésorière de l’Association des communes et collectivités d’Outre-mer (ACCD’OM) et Benoît Zeller, Directeur opérationnel de l’ANRU – Agence nationale pour la rénovation urbaine.
Ce nouveau numéro de "Outre-Mer et si on bougeait les lignes" sera aussi diffusé à partir du mardi 30 novembre sur les antennes du réseau La 1ère.
Bidonvilles à Mayotte et en Guyane, squats à Nouméa, habitat ancien et dégradé aux Antilles et à La Réunion... Partout, des milliers de familles vivent dans des taudis.
Pour tenter d’y voir clair dans ce maquis où interviennent collectivités locales, État, bailleurs sociaux, promoteurs, associations, « Outre-mer, et si on bougeait les lignes ? » et les rédactions du Réseau La 1ère sont allés à la rencontre des acteurs du dossier, à commencer par les premiers concernés, les mal-logés.
Les responsables politiques affirment – unanimes – depuis des décennies que le sujet constitue pour eux une priorité. Cependant, en dépit des plans nationaux et locaux, le problème ne disparaît pas. Dans certaines communes, au contraire, il empire.
L’offre de logement social est insuffisante pour répondre à la demande de ceux qui peuvent y prétendre et le rythme des constructions nouvelles décroît.
Foncier insuffisant par endroits, problèmes d’indivisions fréquents, surcoût des matériaux importés, normes nationales inadaptées, les données du problème sont variées.
Au programme, des invités dont Matthieu Hoarau, Directeur - Agence Île de La Réunion/Océan Indien à la Fondation Abbé Pierre et Caroline Lleu-Etheve, Chargée de développement Outre-mer - Compagnons bâtisseurs.
Mais aussi un débat sur le sujet avec Mahieddine Hedli, Directeur à l'Outre-mer de l'Union sociale de l'habitat (USH), Sophie Charles, Maire de Saint-Laurent-du-Maroni et trésorière de l’Association des communes et collectivités d’Outre-mer (ACCD’OM) et Benoît Zeller, Directeur opérationnel de l’ANRU – Agence nationale pour la rénovation urbaine.
Ce nouveau numéro de "Outre-Mer et si on bougeait les lignes" sera aussi diffusé à partir du mardi 30 novembre sur les antennes du réseau La 1ère.