BCI
Ce dimanche à 14h10, France Ô proposera un nouveau numéro d'Archipels avec Saint-Pierre-et-Miquelon à l'honneur comprenant la diffusion d'un documentaire de Thomas Delorme et Philippe Henry sur les nouvelles formes de pêche sur ce territoire ultramarin.
À Saint-Pierre-et-Miquelon, la pêche est une véritable tradition. On peut même parler d’identité, pour des îles qui pêchaient exclusivement la morue depuis la première moitié du XVIe siècle. Une culture qui a permis à ce territoire d’Outre-mer de prospérer jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
Après le conflit, la surpêche par de puissants chalutiers a littéralement épuisé les stocks de morues et a conduit à un moratoire de cette espèce en 1992. D'autre part, l'extension de la zone économique du Canada a contribué à l'affaiblissement de la pêche à Saint-Pierre-et-Miquelon. Des actes aux lourdes conséquences pour l’archipel : de plus de 10 000 tonnes en moyenne de morues pêchées par an jusqu’en 1992, on est passé à des volumes quasi nuls, avec comme conséquence un secteur de la pêche sinistré.
Un véritable coup dur pour ces îles qui, pour se relever, se sont donc tournées vers de nouveaux horizons ces dernières années : le concombre de mer, l’églefin, le lieu noir ou encore la limande à queue jaune. Sans oublier la morue, autrefois fierté de l’archipel, qui est de nouveau autorisée en respectant des quotas bien précis et très limités.
Pour relancer son économie, l’archipel a complètement modernisé son activité : de nouveaux bateaux respectant les nouvelles normes environnementales et, surtout, une nouvelle main-d’œuvre. Saint-Pierrais et nouveaux venus, la plupart originaires des Hauts-de-France, sont donc amenés à collaborer pour s’adapter à ces nouvelles méthodes de pêche et renouer ainsi avec la fierté de tout un archipel.
Le documentaire Les nouveaux pêcheurs montre les nouvelles formes de pêche qui émergent dans ce petit territoire ultramarin.
À Saint-Pierre-et-Miquelon, la pêche est une véritable tradition. On peut même parler d’identité, pour des îles qui pêchaient exclusivement la morue depuis la première moitié du XVIe siècle. Une culture qui a permis à ce territoire d’Outre-mer de prospérer jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
Après le conflit, la surpêche par de puissants chalutiers a littéralement épuisé les stocks de morues et a conduit à un moratoire de cette espèce en 1992. D'autre part, l'extension de la zone économique du Canada a contribué à l'affaiblissement de la pêche à Saint-Pierre-et-Miquelon. Des actes aux lourdes conséquences pour l’archipel : de plus de 10 000 tonnes en moyenne de morues pêchées par an jusqu’en 1992, on est passé à des volumes quasi nuls, avec comme conséquence un secteur de la pêche sinistré.
Un véritable coup dur pour ces îles qui, pour se relever, se sont donc tournées vers de nouveaux horizons ces dernières années : le concombre de mer, l’églefin, le lieu noir ou encore la limande à queue jaune. Sans oublier la morue, autrefois fierté de l’archipel, qui est de nouveau autorisée en respectant des quotas bien précis et très limités.
Pour relancer son économie, l’archipel a complètement modernisé son activité : de nouveaux bateaux respectant les nouvelles normes environnementales et, surtout, une nouvelle main-d’œuvre. Saint-Pierrais et nouveaux venus, la plupart originaires des Hauts-de-France, sont donc amenés à collaborer pour s’adapter à ces nouvelles méthodes de pêche et renouer ainsi avec la fierté de tout un archipel.
Le documentaire Les nouveaux pêcheurs montre les nouvelles formes de pêche qui émergent dans ce petit territoire ultramarin.
