Le 04 Mars à 23h25*, la Guyane et les Antilles ont leur carnaval sur France Ô ! Pour commencer, direction Basse-Terre, où la Grande Parade du Mardi gras et ses chars spectaculaires sont le point d’orgue du carnaval guadeloupéen.
Puis, à 01h35*, la Parade très populaire de Kourou fait honneur à ses influences créoles, brésiliennes, asiatiques, africaines, européennes.
Enfin, à 03.05*,la célèbre Parade du Dimanche gras à Fort-de-France laisse libre cours à la créativité débordante des carnavaliers.
Sur franceo.fr aussi, dès le mercredi 26 février et jusqu’au 4 mars,c’est Ô Carnaval ! Les internautes pourront voir en direct ou revoir le carnaval de leur choix en sélectionnant la destination souhaitée (Guyane, Guadeloupe, Martinique).
INFO+: Soirée Carnaval, le 04 Mars sur France Ô
En ce Mardi gras, après la diffusion du film Orfeu Negro à 20.45, France Ô s’encanaille toute la nuit au cœur des carnavals les plus chauds de la Caraïbe ! Pour commencer, un documentaire inédit sur celui de Santiago de Cuba où bat chaque année le cœur du carnaval, la conga de Los Hoyos est la plus attendue. Le réalisateur s’est immiscé parmi les musiciens et les danseurs pour vivre ce moment unique de l’intérieur.
À Cuba, La Havane a toujours regardé vers les États-Unis, tandis que Santiago se tournait vers les Caraïbes. L’une était considérée comme le bordel de la puritaine Amérique du Nord,tandis que l’autre a vu naître la révolution.
Dans cette opposition, le carnaval est un révélateur qui ne ment pas. Celui de La Havane est, depuis quelques années, tombé en désuétude suite à sa récupération par le régime, alors que celui de Santiago, chevillé au corps caribéen de la ville, continue de faire vibrer les murs des superbes bâtisses coloniales délabrées. Les congas, formations de musique traditionnelle, en sont les héroïnes, et plus particulièrement celle de Los Hoyos.
Le réalisateur a suivi les préparatifs des membres de cette conga, la plus ancienne et la plus applaudie de la ville, qu’il a accompagnée tout au long du carnaval. « Les Santiagueros sont fanatiques de la conga de Los Hoyos, parce qu’elle a un rythme très particulier, explique son directeur Felix Bandera Bles.
Le grand pianiste Frank Fernandez dit que la conga est un piano, car chaque instrument est une touche du piano et que, tous ensemble, ils forment une mélodie unique.» Celle de la trompette et des tambours, dontla symbolique guerrièreet religieuse est puissante.
Sous la direction du chorégraphe, les corps se déhanchent, les costumes scintillent et les esprits s’échauffent : « Le carnaval, c’est une bouffée d’oxygène.Le carnaval,c’est de la folie !»
Puis, à 01h35*, la Parade très populaire de Kourou fait honneur à ses influences créoles, brésiliennes, asiatiques, africaines, européennes.
Enfin, à 03.05*,la célèbre Parade du Dimanche gras à Fort-de-France laisse libre cours à la créativité débordante des carnavaliers.
Sur franceo.fr aussi, dès le mercredi 26 février et jusqu’au 4 mars,c’est Ô Carnaval ! Les internautes pourront voir en direct ou revoir le carnaval de leur choix en sélectionnant la destination souhaitée (Guyane, Guadeloupe, Martinique).
* Horaire Métropole
INFO+: Soirée Carnaval, le 04 Mars sur France Ô
En ce Mardi gras, après la diffusion du film Orfeu Negro à 20.45, France Ô s’encanaille toute la nuit au cœur des carnavals les plus chauds de la Caraïbe ! Pour commencer, un documentaire inédit sur celui de Santiago de Cuba où bat chaque année le cœur du carnaval, la conga de Los Hoyos est la plus attendue. Le réalisateur s’est immiscé parmi les musiciens et les danseurs pour vivre ce moment unique de l’intérieur.
À Cuba, La Havane a toujours regardé vers les États-Unis, tandis que Santiago se tournait vers les Caraïbes. L’une était considérée comme le bordel de la puritaine Amérique du Nord,tandis que l’autre a vu naître la révolution.
Dans cette opposition, le carnaval est un révélateur qui ne ment pas. Celui de La Havane est, depuis quelques années, tombé en désuétude suite à sa récupération par le régime, alors que celui de Santiago, chevillé au corps caribéen de la ville, continue de faire vibrer les murs des superbes bâtisses coloniales délabrées. Les congas, formations de musique traditionnelle, en sont les héroïnes, et plus particulièrement celle de Los Hoyos.
Le réalisateur a suivi les préparatifs des membres de cette conga, la plus ancienne et la plus applaudie de la ville, qu’il a accompagnée tout au long du carnaval. « Les Santiagueros sont fanatiques de la conga de Los Hoyos, parce qu’elle a un rythme très particulier, explique son directeur Felix Bandera Bles.
Le grand pianiste Frank Fernandez dit que la conga est un piano, car chaque instrument est une touche du piano et que, tous ensemble, ils forment une mélodie unique.» Celle de la trompette et des tambours, dontla symbolique guerrièreet religieuse est puissante.
Sous la direction du chorégraphe, les corps se déhanchent, les costumes scintillent et les esprits s’échauffent : « Le carnaval, c’est une bouffée d’oxygène.Le carnaval,c’est de la folie !»
