Ce lundi 2 juin à 23h55 sur France 3 (Date et Horaire Métropole, ndlr), ainsi que sur La1ere.fr et france.tv, le documentaire « Sakifo, la musique au bout du monde » plonge les téléspectateurs au cœur d’une aventure humaine et artistique hors du commun. Un récit vibrant de 52 minutes qui retrace les vingt ans d’histoire du Sakifo Musik Festival, l’un des événements culturels les plus emblématiques de l’océan Indien.
Tout commence en 2004, sur la côte ouest de l’île de La Réunion. À Saint-Pierre, une ville cosmopolite, chaleureuse et tournée vers l’océan, Jérôme Galabert lance un pari audacieux : créer un festival musical d’envergure internationale sur une île de l’Outre-mer français, loin des grandes scènes hexagonales. L’ambition est claire : offrir au public réunionnais la même qualité de son, de lumière et de programmation qu’à Paris, Marseille ou Bruxelles.
Contre vents et marées, logistiques, économiques et parfois climatiques, le Sakifo s’impose en vingt ans comme une institution culturelle, un trait d’union entre continents, une scène ouverte à toutes les musiques, à tous les publics.
Aujourd’hui, le Sakifo rassemble chaque année près de 40 000 festivaliers. Ils viennent vivre une expérience unique, à mi-chemin entre le concert sous les tropiques et la célébration identitaire. Entre la plage et les montagnes, au rythme des alizés, la scène du Sakifo devient un lieu de communion, où les artistes internationaux et les talents locaux partagent la même énergie.
Angèle, Hamza, Ayo, -M-, Ibrahim Maalouf, Tikken Jah Fakoly, mais aussi Pix’l, Thierry Gauliris ou PLL : tous saluent une ambiance inégalée, portée par la chaleur d’un public créole, curieux, fidèle et festif. Ce n’est pas un hasard si le nom même du festival, Sakifo, signifie en créole réunionnais : « c’est ce qu’il faut ».
Réalisé par Loïc Thomas et Estelle Jomaron-Galabert, le documentaire « Sakifo, la musique au bout du monde »nous fait voyager dans les coulisses d’un événement hors norme. Il interroge ses origines, suit son évolution, capte son essence. Préparatifs techniques, installations scéniques, surprises climatiques, mais aussi gastronomie, paysages et regards croisés d’artistes… tout y est pour comprendre comment ce festival est devenu l’un des plus importants de la zone sud-ouest de l’océan Indien.
Plus qu’un simple documentaire musical, c’est une ode à la résilience culturelle, à la mixité des sons et à la force des territoires ultramarins. Sakifo n’est pas qu’un festival : c’est une manière d’exister, de revendiquer, de vibrer.
« Sakifo, la musique au bout du monde » est un rendez-vous immanquable pour les amoureux de musique, de culture réunionnaise, et de projets qui déplacent les montagnes.
Tout commence en 2004, sur la côte ouest de l’île de La Réunion. À Saint-Pierre, une ville cosmopolite, chaleureuse et tournée vers l’océan, Jérôme Galabert lance un pari audacieux : créer un festival musical d’envergure internationale sur une île de l’Outre-mer français, loin des grandes scènes hexagonales. L’ambition est claire : offrir au public réunionnais la même qualité de son, de lumière et de programmation qu’à Paris, Marseille ou Bruxelles.
Contre vents et marées, logistiques, économiques et parfois climatiques, le Sakifo s’impose en vingt ans comme une institution culturelle, un trait d’union entre continents, une scène ouverte à toutes les musiques, à tous les publics.
Aujourd’hui, le Sakifo rassemble chaque année près de 40 000 festivaliers. Ils viennent vivre une expérience unique, à mi-chemin entre le concert sous les tropiques et la célébration identitaire. Entre la plage et les montagnes, au rythme des alizés, la scène du Sakifo devient un lieu de communion, où les artistes internationaux et les talents locaux partagent la même énergie.
Angèle, Hamza, Ayo, -M-, Ibrahim Maalouf, Tikken Jah Fakoly, mais aussi Pix’l, Thierry Gauliris ou PLL : tous saluent une ambiance inégalée, portée par la chaleur d’un public créole, curieux, fidèle et festif. Ce n’est pas un hasard si le nom même du festival, Sakifo, signifie en créole réunionnais : « c’est ce qu’il faut ».
Réalisé par Loïc Thomas et Estelle Jomaron-Galabert, le documentaire « Sakifo, la musique au bout du monde »nous fait voyager dans les coulisses d’un événement hors norme. Il interroge ses origines, suit son évolution, capte son essence. Préparatifs techniques, installations scéniques, surprises climatiques, mais aussi gastronomie, paysages et regards croisés d’artistes… tout y est pour comprendre comment ce festival est devenu l’un des plus importants de la zone sud-ouest de l’océan Indien.
Plus qu’un simple documentaire musical, c’est une ode à la résilience culturelle, à la mixité des sons et à la force des territoires ultramarins. Sakifo n’est pas qu’un festival : c’est une manière d’exister, de revendiquer, de vibrer.
« Sakifo, la musique au bout du monde » est un rendez-vous immanquable pour les amoureux de musique, de culture réunionnaise, et de projets qui déplacent les montagnes.