Zones d'ombre revient sur l'affaire Ceregmia, le jeudi 4 Février à 20h00 sur ATV Martinique (MAJ)

Complot et corruption contre l'université des Antilles et de la Guyane.
Meurtre, mensonges, diffamation, ceux qui veulent écraser l'université et ont détourné son argent à des fins pseudo politiques mais probablement idéologiques, ne reculent devant rien.
Il est possible, que le but poursuivi par ces gens, soit d'empêcher les Antilles, d'avoir une une université de pointe.
À moins de rester un pitre et un amuseur, l'Antillais ne doit pas parvenir à une maturité intellectuelle.
L'Antillais doit rester une personne violente, ou une victime, ou une ex victimes d'esclavage mais surtout, ne pas devenir intelligent. Les Antilles sont le pré carré de quelques familles enrichies depuis l'esclavage.
Ces créatures de l'ancien régime tiennent l'État français grâce a leur chantage à la finance qu'ils ont cumulé et aux accords qu'ils passent pour faire élire le nouveau président, le nouveau roi de France.
Ce n'est pas étonnant, que les Antilles sont les endroits le plus violent de France, sous la direction de telles familles criminelles.
Leur pouvoir st tel, qu'elles peuvent obtenir un non-lieu en justice, ou une cassation pour une affaire dans lesquelles elles sont coupables !
Historiquement coupables…
Ces familles ne sont comptables de rien, mais comptent dans tout. Lorsqu'on regarde l'organigramme de leurs finances, chaque entreprise qui compte leur appartient.

La journaliste qui a fait cette enquête est une proche de Fred Celimène , ancien directeur du Ceregmia.
Célimène à été en examen et placé en garde à vue dans l'affaire des détournements de plusieurs millions d'€uros (à plusieurs dizaines de millions) de l'Université des Antilles et de la Guyane.
Cet individu, par son comportement, c'est montré en faveur de la cabale contre Madame Mencé-Caster, la Présidente de l'Université qui a osé dévoiler ce scandale d'Etat qui a causé la fin de l'unité des Université entre les Antilles et la Guyane.

Cette Journaliste est t'elle sincère dans sa démarche dévoilant les menaces de mort contre notre Présidente d'Université ? Essaierait-elle de miner sa détermination en faisant peser publiquement ces menaces ? Ou chercherait elle, en dépis de ses relations privée, à appuyer le processus de libération de l'enseignement Universitaire aux Antilles de sa gangrène corruptrice ?