© Rewild Production
Ce soir, France 3 et les plateformes La 1ère proposeront un documentaire inédit de Thomas Delorme qui mettra en lumière les grandes sportives ultramarines dans leur préparation aux Jeux Olympiques et lors des compétitions qui précèdent ce grand rendez-vous. Elles vont se donner corps et âme pour décrocher une médaille olympique et mettre à l'honneur les Outre-mer.
Depuis les années 1990, les Jeux Olympiques sont une vitrine pour les performances des sportifs d’Outre-mer (Marie-José Pérec, Laura Flessel, Christine Arron, Malia Metella, Jackson Richardson...). Dans chaque discipline, les femmes sont majoritaires dans ces moissons de médailles. Le judo est devenu un sport phare où les champions ultramarins s’expriment avec talent. Sur les tatamis, Amandine Buchard, Sarah-Léonie Cysique, Léa Fontaine, Julia Tolofua et Fanny-Estelle Posvite sont devenues des adversaires redoutables aux niveaux national, européen et mondial. Avec le grand rendez-vous olympique à Paris en 2024, la pression commence à monter. Seront-elles au rendez-vous ?
Depuis quelques années, et l’ascension de Teddy Riner, le judo est devenu une discipline phare où les champions d’Outre-mer s’expriment avec talent. Cinq d'entre elles sont devenues des athlètes incroyables, à tous les niveaux.
Julia Tolofua, originaire de Wallis, part avec un handicap. Elle s’est blessée à l’épaule droite et, pour elle, la sélection s’annonce difficile, d’autant plus que dans sa catégorie (les + de 78 kilos), la concurrence est rude. Mais Julia garde bon espoir.
Dans la même catégorie, Léa Fontaine est repartie s’entraîner sur son île, La Réunion, dans l’attente de la sélection, avec la ferme intention de gravir les sommets.
Sarah-Léonie Cysique et Fanny-Estelle Posvite enchaînent les entraînements et les compétitions : les Championnats d’Europe à Montpellier, le grand slam de Paris.
Lors des Championnats d’Europe à Montpellier, Amandine Buchard sort épuisée de son combat avec l’une de ses principales rivales, la Kosovare Distria Krasniqi. Après un moment de lassitude, Amandine Buchard décide de prendre de la distance avant de revenir sur les tatamis.
Dans l’équipe féminine de France des judokates, il règne une bonne ambiance. Mais la pression monte au fur et à mesure que la date de la plus grande compétition du monde approche.
Avec la participation de :
Le documentaire "Les judokates Rêve olympique" sera à découvrir le lundi 17 juin à 23h35 sur France 3 et sur La1ere.fr (Horaire Métropole, ndlr).
Depuis les années 1990, les Jeux Olympiques sont une vitrine pour les performances des sportifs d’Outre-mer (Marie-José Pérec, Laura Flessel, Christine Arron, Malia Metella, Jackson Richardson...). Dans chaque discipline, les femmes sont majoritaires dans ces moissons de médailles. Le judo est devenu un sport phare où les champions ultramarins s’expriment avec talent. Sur les tatamis, Amandine Buchard, Sarah-Léonie Cysique, Léa Fontaine, Julia Tolofua et Fanny-Estelle Posvite sont devenues des adversaires redoutables aux niveaux national, européen et mondial. Avec le grand rendez-vous olympique à Paris en 2024, la pression commence à monter. Seront-elles au rendez-vous ?
Depuis quelques années, et l’ascension de Teddy Riner, le judo est devenu une discipline phare où les champions d’Outre-mer s’expriment avec talent. Cinq d'entre elles sont devenues des athlètes incroyables, à tous les niveaux.
Julia Tolofua, originaire de Wallis, part avec un handicap. Elle s’est blessée à l’épaule droite et, pour elle, la sélection s’annonce difficile, d’autant plus que dans sa catégorie (les + de 78 kilos), la concurrence est rude. Mais Julia garde bon espoir.
Dans la même catégorie, Léa Fontaine est repartie s’entraîner sur son île, La Réunion, dans l’attente de la sélection, avec la ferme intention de gravir les sommets.
Sarah-Léonie Cysique et Fanny-Estelle Posvite enchaînent les entraînements et les compétitions : les Championnats d’Europe à Montpellier, le grand slam de Paris.
Lors des Championnats d’Europe à Montpellier, Amandine Buchard sort épuisée de son combat avec l’une de ses principales rivales, la Kosovare Distria Krasniqi. Après un moment de lassitude, Amandine Buchard décide de prendre de la distance avant de revenir sur les tatamis.
Dans l’équipe féminine de France des judokates, il règne une bonne ambiance. Mais la pression monte au fur et à mesure que la date de la plus grande compétition du monde approche.
Avec la participation de :
- Amandine Buchard, originaire de Martinique, médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Tokyo 2021 et médaille d’or aux Championnats d’Europe de Montpellier 2023 (catégorie – de 52 kg)
- Sarah-Léonie Cysique, originaire de Guadeloupe, médaille d’argent aux Jeux Olympiques d’été de Tokyo 2020 (catégorie – de 57 kg)
- Léa Fontaine, née à La Réunion, médaille de bronze aux Championnats d’Europe de Zagreb 2024 (catégorie + de 78 kg)
- Fanny-Estelle Posvite, originaire de Guadeloupe, médaille de bronze aux Championnats d'Europe de judo 2021 à Lisbonne, médaille d’argent des plus de 78 kg aux Championnats du monde de Doha (catégorie – de 78 kg)
- Julia Tolofua, originaire de Wallis-et-Futuna, médaille d’argent des plus de 78 kg aux Championnats du monde de Doha.
- Séverine Van Den Hende, entraîneur de l’équipe de France de judo
- Lucie Decosse, ancienne entraîneur de l’équipe de France de judo
- Larbi Benboudaoud, entraîneur de l’équipe de France de judo
