© Xavier Dollin
Le mois KASSAV (A partir du 30 Avril 23h45)
À l’occasion du concert-événement du groupe de zouk légendaire (du 27 au 29 mai au Zénith de Paris), France Ô se met à l’heure de Kassav et rend hommage, pendant un mois, à ce « music band » antillais qui a vu le jour en 1979 ! Une programmation exceptionnelle dont Juan Massenya donne le coup d’envoi dans « Radio Vinyle ».
Une tournée internationale intitulée « Chiré Douvan Tour 2016 » et la réédition de leurs albums vont mener Kassav, du 27 au 29 mai prochain, au Zénith de Paris, leur salle fétiche. Trente ans après leur premier passage, où le groupe avait fait découvrir au public de la métropole l’étendue de son talent, Kassav remet ça de la façon la plus originale qui soit : en reprenant la setlist de leur concert de 1986 !
Séquence nostalgie et émotion, mais nul doute que le groupe va de nouveau montrer de quel bois il se chauffe en livrant une fois encore un show qui va mettre le feu aux poudres ! Pour saluer la longue carrière de Kassav, connu dans le monde entier (on ne compte plus leurs passages sur chaque continent), France Ô multiplie les clins d’œil à ce groupe en proposant plusieurs programmes qui lui sont consacrés.
Samedi 30 avril, Jocelyne Béroard et Jacob Desvarieux seront tout d’abord les invités de Juan Massenya dans Radio Vinyle. Quels artistes les membres du groupe écoutaient-ils, jeunes, à la Martinique ? Comment ont-ils conquis la métropole ? Comme à son habitude, l’émission ne manquera pas de provoquer souvenirs et émotions à l’apparition de vinyles fétiches, chéris, symboliques et révélateurs.
Le journal Infô soir diffusera quant à lui chaque lundi un sujet dédié à Kassav et accueillera les membres du groupe sur son plateau, avant leur premier concert à Paris, le vendredi 27 mai. À ne pas manquer dans Ô live, le 14 mai prochain, le concert de Kassav lors du festival Jazz à Vienne en 2013, l’un de ces fameux concerts où l’énergie et l’émulation du groupe font des étincelles !
À l’occasion du concert-événement du groupe de zouk légendaire (du 27 au 29 mai au Zénith de Paris), France Ô se met à l’heure de Kassav et rend hommage, pendant un mois, à ce « music band » antillais qui a vu le jour en 1979 ! Une programmation exceptionnelle dont Juan Massenya donne le coup d’envoi dans « Radio Vinyle ».
Une tournée internationale intitulée « Chiré Douvan Tour 2016 » et la réédition de leurs albums vont mener Kassav, du 27 au 29 mai prochain, au Zénith de Paris, leur salle fétiche. Trente ans après leur premier passage, où le groupe avait fait découvrir au public de la métropole l’étendue de son talent, Kassav remet ça de la façon la plus originale qui soit : en reprenant la setlist de leur concert de 1986 !
Séquence nostalgie et émotion, mais nul doute que le groupe va de nouveau montrer de quel bois il se chauffe en livrant une fois encore un show qui va mettre le feu aux poudres ! Pour saluer la longue carrière de Kassav, connu dans le monde entier (on ne compte plus leurs passages sur chaque continent), France Ô multiplie les clins d’œil à ce groupe en proposant plusieurs programmes qui lui sont consacrés.
Samedi 30 avril, Jocelyne Béroard et Jacob Desvarieux seront tout d’abord les invités de Juan Massenya dans Radio Vinyle. Quels artistes les membres du groupe écoutaient-ils, jeunes, à la Martinique ? Comment ont-ils conquis la métropole ? Comme à son habitude, l’émission ne manquera pas de provoquer souvenirs et émotions à l’apparition de vinyles fétiches, chéris, symboliques et révélateurs.
Le journal Infô soir diffusera quant à lui chaque lundi un sujet dédié à Kassav et accueillera les membres du groupe sur son plateau, avant leur premier concert à Paris, le vendredi 27 mai. À ne pas manquer dans Ô live, le 14 mai prochain, le concert de Kassav lors du festival Jazz à Vienne en 2013, l’un de ces fameux concerts où l’énergie et l’émulation du groupe font des étincelles !
© Gedeon
Passion Outremer "Saint Barthelemy et Saint Martin, deux îles étonnantes" (Dimanche 1er Mai 20h50)
Au cœur des Antilles françaises, Saint-Barthélemy et Saint-Martin sont deux anciennes dépendances de la Guadeloupe. Des insulaires passionnés font découvrir, bien loin des clichés de carte postale, ces deux îles au patrimoine étonnant.
Celles qu’on appelle « les îles du Nord » attirent chaque année des milliers de touristes, avides de plages et de farniente. Pourtant, ces deux îles recèlent des histoires singulières et une nature méconnue.
À l’est, Saint-Barthélemy est devenu le symbole du luxe. Pourtant, la nature y est précieuse et fragile. Le conservateur de la réserve naturelle Olivier Raynaud et les autres gardes veillent sur la faune et la flore endémiques. Quasi décimés par l’urbanisation galopante, les iguanes ont vu leur population baisser de 70 % en cinquante ans.
Pour les aider à surveiller les zones protégées et l’évolution des espèces, ils utilisent des techniques ultra-modernes comme le drone. Ayant appartenu pendant un siècle à la Suède, Saint-Barthélemy raconte encore cette histoire à travers son architecture. Un fabuleux héritage que certains, comme l’architecte François Pécard, s’attellent à préserver.
À 25 km au nord-ouest, Saint-Martin, elle, a connu une autre histoire. Elle se partage entre Français et Hollandais depuis le XVIIe siècle. On y croise, entre autres, Roland Richardson, peintre impressionniste et véritable mémoire de l’île. Directrice des archives territoriales et du patrimoine, Stéphanie Dargaud dresse l’inventaire du patrimoine bâti de l’île. Une histoire totalement ignorée par les touristes. De son côté, Dominique Bonissent, archéologue, tente de reconstituer le quotidien des Amérindiens Arawaks, les premiers habitants de l’île, il y a plus de deux mille ans…
Au cœur des Antilles françaises, Saint-Barthélemy et Saint-Martin sont deux anciennes dépendances de la Guadeloupe. Des insulaires passionnés font découvrir, bien loin des clichés de carte postale, ces deux îles au patrimoine étonnant.
Celles qu’on appelle « les îles du Nord » attirent chaque année des milliers de touristes, avides de plages et de farniente. Pourtant, ces deux îles recèlent des histoires singulières et une nature méconnue.
À l’est, Saint-Barthélemy est devenu le symbole du luxe. Pourtant, la nature y est précieuse et fragile. Le conservateur de la réserve naturelle Olivier Raynaud et les autres gardes veillent sur la faune et la flore endémiques. Quasi décimés par l’urbanisation galopante, les iguanes ont vu leur population baisser de 70 % en cinquante ans.
Pour les aider à surveiller les zones protégées et l’évolution des espèces, ils utilisent des techniques ultra-modernes comme le drone. Ayant appartenu pendant un siècle à la Suède, Saint-Barthélemy raconte encore cette histoire à travers son architecture. Un fabuleux héritage que certains, comme l’architecte François Pécard, s’attellent à préserver.
À 25 km au nord-ouest, Saint-Martin, elle, a connu une autre histoire. Elle se partage entre Français et Hollandais depuis le XVIIe siècle. On y croise, entre autres, Roland Richardson, peintre impressionniste et véritable mémoire de l’île. Directrice des archives territoriales et du patrimoine, Stéphanie Dargaud dresse l’inventaire du patrimoine bâti de l’île. Une histoire totalement ignorée par les touristes. De son côté, Dominique Bonissent, archéologue, tente de reconstituer le quotidien des Amérindiens Arawaks, les premiers habitants de l’île, il y a plus de deux mille ans…
© Aurélien Faidy / Autofocus-prod
© Rede Globo
