À quelques semaines de Roland-Garros, les seigneurs de la petite balle jaune relèvent le défi du tournoi de Monte-Carlo, le premier grand rendez-vous de la saison sur terre battue. La plus belle affiche des demies et la finale sont à suivre sur France Ô, en direct et en intégralité.
On retrouvera ainsi le prestigieux Big Five composé par le numéro 1 mondial et tenant du titre Novak Djokovic, Andy Murray, Roger Federer, Stanislas Wawrinka et Rafael Nadal.
Côté français, toutes les têtes d’affiche seront de la partie, à commencer par les mousquetaires de la Coupe Davis qui se sont récemment distingués sous les ordres de Yannick Noah lors des huitièmes de finale de la compétition début mars. Jo-Wilfried Tsonga, Gaël Monfils, Richard Gasquet et Gilles Simon tenteront ainsi de tirer leur épingle du jeu face à la concurrence la plus relevée du circuit.
Le tournoi de Monte-Carlo appartient à la prestigieuse catégorie des ATP World Tour Masters 1000. Son vainqueur fut plus d’une fois le même que le lauréat des Internationaux de France. Rafael Nadal, qui remporta le tournoi monégasque de 2005 à 2012, soit durant sept années consécutives, en est l’un des meilleurs exemples.
Les commentaires du match seront assurés par Lionel Chamoulaud et Arnaud Clément. Nelson Monfort sera au bord du court pour les interviews des joueurs.
Tourisme haut de gamme, yachts à perte de vue, restaurants huppés… « Saint-Barth » et Saint-Martin font partie des destinations favorites des stars et des fortunes internationales. Zoom sur le revers de la médaille.
Direction ce paradis pour gens fortunés où l’on ne paie pas d’impôts ni de TVA.
Mais la médaille a son revers : la vie y est hors de prix, que ce soit pour les produits de consommation courante, tous importés par avion ou par bateau, ou pour les loyers. L’économie de l’île est essentiellement axée sur le tourisme de luxe et la construction.
Une manne financière qui attire de plus en plus de monde. La population résidente a connu une augmentation exponentielle ces dernières années, passant de 2 500 habitants dans les années 1980 à 9 400 aujourd’hui. Et c’est sans compter sur les touristes qui font tripler la population de l’île en haute saison.
Une croissance qui entraîne des problématiques liées à l’urbanisme : circulation, énergie, traitement des déchets, gestion de l’eau. Comment faire face à ces besoins toujours croissants ? Surtout que la pression immobilière est telle que le développement de l’île se fait très souvent au détriment de son environnement…
Ce documentaire constitue une immersion dans la scène reggae contemporaine. Construit comme un voyage, il explique comment, et avec quelle force, ce style musical continue d’inspirer les artistes du monde entier, de la Jamaïque à l’Afrique, en passant par la France.
« On a refusé de copier les Jamaïcains, expliquent les Grenoblois de Sinsemilia. On s’en inspire énormément, mais, en même temps, on laisse la porte ouverte au rock, à la chanson française… parce que c’est notre culture. » Pour le Tourangeau Brahim, « l’essence du reggae, c’est la contestation ». Un sentiment qu’a longtemps partagé Taïro, fils d’un militant politique marocain exilé en France : « Au début, adolescent, j’avais envie de continuer son combat. Avec le temps, je me suis dit que je devais être musicien, essayer de faire de bonnes chansons, être moi-même… »
L’Afro-Caribéen Yaniss Odua est associé à l’image d’un « reggae qui évolue avec son temps… plus spontané » : le dancehall, très populaire et différent du roots des origines, sans renier la profondeur des paroles et du message du reggae authentique tel qu'il continue à le pratiquer.
Balik, membre du groupe français Danakil, confirme : « Le reggae a su se fondre avec les identités et muter : c’est ce qui le rend universel à travers les gens et les pays. » Le Normand Naâman, de séjour en Jamaïque, revendique cette appropriation : « On est cette nouvelle génération qui reprend le roots, qui le mélange avec d’autres styles musicaux, et surtout qui réconcilie le reggae avec le public. » Pour des musiciens jamaïcains comme Koro Fyah, voir « les artistes étrangers faire du reggae de manière si passionnée, ça nous inspire » !
Protoje, Billy « Mystic » et Diana Rutherford sont les visages de cette nouvelle scène du reggae jamaïcain. Mais, pour cette dernière, « ce n’est pas juste une forme artistique, c’est une partie du mouvement rasta : c’est indissociable ! Tu ne peux pas chanter de manière superficielle sans aller chercher les racines. » Ce sont celles qui viennent d’Ethiopie, évidemment, où est né le mouvement rastafari, inspiré par la vision panafricaine de Marcus Garvey. Depuis, le reggae a voyagé à son tour sur l’ensemble du continent africain. Bob Marley le pensait : « Lorsque le reggae arrivera en Afrique, il prendra une nouvelle dimension. »
Les reggaemen Ras Goody Brown, Takana Zion, Naftaly ou Kajeem en sont aujourd’hui les représentants. Le réalisateur Jérémie Cuvillier les a rencontrés lors du festival de reggae d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, où participait également Julius Garvey, le fils du « prophète », qui insiste : « Le reggae est une musique contestataire et révolutionnaire dans la pure tradition jamaïcaine. »
Mais, pour Naftaly, « on ne fait pas du reggae parce qu’on est rasta, tout le monde peut faire du reggae ! »
Des images à couper le souffle. Des champions qui défient la nature. Plongez au creux de la vague avec ce film qui donne envie de planifier ses prochaines vacances !
Une rencontre avec la nature dans ce qu’elle a de plus beau, mais aussi de plus sauvage, comme cette rencontre avec le plus grand requin blanc jamais vu aux nord d’Hawaii.