Pour ce prix, réservé aux moins de 26 ans, les abonnés pourront accéder à plus de 400 films inédits, toutes les séries de Canal+, trois matches de Ligue 1 de football, trois matches de Top 14 de rugby, et la Formule 1. Le tout sur internet, tablette, ou smartphone.
Selon Europe 1, Canal+ s'apprête à dégainer son "arme anti-Netflix". À la rentrée, la chaîne va lancer une offre jeunes (pour les moins de 26 ans) à 9,95 euros, sans engagement. Pour ce prix, l'abonné aura accès à plus de 400 films inédits, toutes les séries de Canal+, trois matches de Ligue 1 de football, trois matches de Top 14 de rugby, et la Formule 1. Le tout sur internet, tablette, ou smartphone.
Faire face à la baisse du nombre d'abonnés. Il était temps que Canal+ reprenne la main. BFM Business annonçait mardi un effondrement des résultats de la chaîne Canal+. Fuite des abonnés, recettes publicitaires divisées par dix, l'article qui a fait l’effet d’une bombe dans le petit milieu de la télé et à Canal+ en particulier.
"C’est un tissu de conneries", confie en privé l'un des patrons du groupe. Selon eux, l’article oublie tous les coûts de "distribution" : marketing et pub, décodeurs, commission vendeurs, service client. Avec ces coûts, la chaîne perdait déjà de l’argent en 2012. Et l'arrivée de BeIn Sports n’a rien arrangé. Selon une source anonyme, le clair de Canal+ n’a jamais été rentable, pas même en 2012, il y avait zéro euro de marge.
Ce que Canal+ ne conteste pas cependant, c'est la baisse du nombre d'abonnés. Un demi-million en moins, en dépit d'offres à prix cassés en 2016, à 20 euros par mois. Avec son offre jeune, disponible à la rentrée, Canal+ espère bien inverser la tendance.
Selon Europe 1, Canal+ s'apprête à dégainer son "arme anti-Netflix". À la rentrée, la chaîne va lancer une offre jeunes (pour les moins de 26 ans) à 9,95 euros, sans engagement. Pour ce prix, l'abonné aura accès à plus de 400 films inédits, toutes les séries de Canal+, trois matches de Ligue 1 de football, trois matches de Top 14 de rugby, et la Formule 1. Le tout sur internet, tablette, ou smartphone.
Faire face à la baisse du nombre d'abonnés. Il était temps que Canal+ reprenne la main. BFM Business annonçait mardi un effondrement des résultats de la chaîne Canal+. Fuite des abonnés, recettes publicitaires divisées par dix, l'article qui a fait l’effet d’une bombe dans le petit milieu de la télé et à Canal+ en particulier.
"C’est un tissu de conneries", confie en privé l'un des patrons du groupe. Selon eux, l’article oublie tous les coûts de "distribution" : marketing et pub, décodeurs, commission vendeurs, service client. Avec ces coûts, la chaîne perdait déjà de l’argent en 2012. Et l'arrivée de BeIn Sports n’a rien arrangé. Selon une source anonyme, le clair de Canal+ n’a jamais été rentable, pas même en 2012, il y avait zéro euro de marge.
Ce que Canal+ ne conteste pas cependant, c'est la baisse du nombre d'abonnés. Un demi-million en moins, en dépit d'offres à prix cassés en 2016, à 20 euros par mois. Avec son offre jeune, disponible à la rentrée, Canal+ espère bien inverser la tendance.
