Chaque mardi, le portail numérique La 1ere.fr vous propose "Vos photos, notre histoire", le récit de personnalités méconnues ultramarines, confrontées à la grande histoire, raconté par leurs descendants, réalisé par Aurore Le Mat, Mélanie Dalsace, Marion Baillot, Claire Leisink et Martin Courcier.
Composée de 24 numéros de 13 minutes, découvrez les destins extraordinaires et bouleversants de Daniel Maximin, essayiste et écrivain marchant dans les pas du grand poète martiniquais Aimé Césaire, de Christiane Waneissi, qui nous raconte les origines de la robe mission en Nouvelle-Calédonie, puis de Raymond Mayer et sa découverte de Wallis-et-Futuna qui a bouleversé sa vie.
Plus que d’autres territoires — parce qu’ils ont souvent été soumis au vent violent de périodes troublées aux XIXe et XXe siècles —, les Outre-mer regorgent de témoignages de voyages, d’éloignements et de rapprochements, d’arrivées et de départs, de traces de la colonisation.
Les personnages de chaque documentaire sont, dans la plupart des cas, des individus oubliés par la postérité ; leur vie est pourtant riche, comme les souvenirs qu’ils ont laissés peuvent en témoigner. Journaux intimes, lettres et photographies participent à rendre plus accessible la mémoire. Si la grande histoire revit sous le prisme de ces anonymes, chaque film fait également appel à un corpus d’images d’archives qui permettent de situer le moment dans lequel évolue le personnage dont le destin est reconstitué.
Composée de 24 numéros de 13 minutes, découvrez les destins extraordinaires et bouleversants de Daniel Maximin, essayiste et écrivain marchant dans les pas du grand poète martiniquais Aimé Césaire, de Christiane Waneissi, qui nous raconte les origines de la robe mission en Nouvelle-Calédonie, puis de Raymond Mayer et sa découverte de Wallis-et-Futuna qui a bouleversé sa vie.
Plus que d’autres territoires — parce qu’ils ont souvent été soumis au vent violent de périodes troublées aux XIXe et XXe siècles —, les Outre-mer regorgent de témoignages de voyages, d’éloignements et de rapprochements, d’arrivées et de départs, de traces de la colonisation.
Les personnages de chaque documentaire sont, dans la plupart des cas, des individus oubliés par la postérité ; leur vie est pourtant riche, comme les souvenirs qu’ils ont laissés peuvent en témoigner. Journaux intimes, lettres et photographies participent à rendre plus accessible la mémoire. Si la grande histoire revit sous le prisme de ces anonymes, chaque film fait également appel à un corpus d’images d’archives qui permettent de situer le moment dans lequel évolue le personnage dont le destin est reconstitué.
Ce qui vous attend dans "Vos photos, notre histoire" (Inédit)
Mardi 6 septembre
France – Celui qui écrivait la culture antillaise
« Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche. » Ce vers d’Aimé Césaire a guidé toute la vie intellectuelle de Daniel Maximin, poète, essayiste et écrivain marchant dans les pas du grand poète martiniquais. Quand Daniel le rencontre, il est jeune étudiant à la Sorbonne et Césaire est l'un de ses aînés qu’il croise parfois à Présence Africaine, la librairie qu’on surnomme alors « la Sorbonne noire ». Dans cette librairie parisienne se retrouve toute une génération d’écrivains africains, caribéens, afro-américains, sud-américains…
Mardi 13 septembre
Nouvelle-Calédonie – Celle qui s'est réappropriée la robe mission
La robe mission est née à la fin du XIXe siècle lors de l’arrivée des premiers missionnaires chrétiens. Au fil de l’histoire, les femmes se sont appropriées cette robe, symbole de l’évangélisation, pour en faire un objet de revendication de leur identité culturelle. Christiane Waneissi n’est pas couturière, mais elle a toujours été intermédiaire pour vendre des robes missions lors de mariages ou lors de la fête traditionnelle sur l’île de Lifou : Luecila 3000. En 2020, elle crée sa société : un plateforme de vente de robes missions à l'international. Elle souhaite favoriser et développer l’artisanat calédonien.
Mardi 20 septembre
Wallis-et-Futuna – Celui qui est devenu musicologue (inédit)
Raymond Mayer n’était pas destiné à devenir ethno-musicologue. Sa rencontre avec le territoire de Wallis-et-Futuna, où il part enseigner en 1969, a transformé sa vie. Muni de son appareil photo et de sa caméra Super-8, il est subjugué par les danses et les chants de cet archipel du bout du monde. Et si, grâce à cet art, on pouvait raconter autant qu’en ouvrant un journal d’actualité ou un manuel d’histoire, ça donnerait quoi ?
France – Celui qui écrivait la culture antillaise
« Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche. » Ce vers d’Aimé Césaire a guidé toute la vie intellectuelle de Daniel Maximin, poète, essayiste et écrivain marchant dans les pas du grand poète martiniquais. Quand Daniel le rencontre, il est jeune étudiant à la Sorbonne et Césaire est l'un de ses aînés qu’il croise parfois à Présence Africaine, la librairie qu’on surnomme alors « la Sorbonne noire ». Dans cette librairie parisienne se retrouve toute une génération d’écrivains africains, caribéens, afro-américains, sud-américains…
Mardi 13 septembre
Nouvelle-Calédonie – Celle qui s'est réappropriée la robe mission
La robe mission est née à la fin du XIXe siècle lors de l’arrivée des premiers missionnaires chrétiens. Au fil de l’histoire, les femmes se sont appropriées cette robe, symbole de l’évangélisation, pour en faire un objet de revendication de leur identité culturelle. Christiane Waneissi n’est pas couturière, mais elle a toujours été intermédiaire pour vendre des robes missions lors de mariages ou lors de la fête traditionnelle sur l’île de Lifou : Luecila 3000. En 2020, elle crée sa société : un plateforme de vente de robes missions à l'international. Elle souhaite favoriser et développer l’artisanat calédonien.
Mardi 20 septembre
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Raymond Mayer n’était pas destiné à devenir ethno-musicologue. Sa rencontre avec le territoire de Wallis-et-Futuna, où il part enseigner en 1969, a transformé sa vie. Muni de son appareil photo et de sa caméra Super-8, il est subjugué par les danses et les chants de cet archipel du bout du monde. Et si, grâce à cet art, on pouvait raconter autant qu’en ouvrant un journal d’actualité ou un manuel d’histoire, ça donnerait quoi ?