Parmi les principaux points de revendications, les employés du plus vieux quotidien de Tahiti dénonce le non respect des termes du protocole de fin de conflit signé le 30 novembre dernier à l'issue d'un précédent mouvement mais aussi le déménagement du personnel de l'immeuble Sarateva vers le bâtiment de La Dépêche.
Ils dénoncent aussi les retards répétés dans le versement des salaires, les mauvaises conditions de travail et la pression sur certaines personnes.
De son côté, la direction estime que les retards de salaires ne sont plus d'actualité, sur les 30 agents que comptent la Dépêche de Tahiti, 19 sont en grève et la plupart travaillent aux rotatives.
Un mouvement qui fait qu'accroître la situation déja tendue du quotidien qui passe de 6 à 5 éditions hebdomadaires. Depuis cette semaine, le journal du vendredi est aussi celui de samedi et de dimanche.