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Le K de Kréol


Rédigé le Vendredi 6 Novembre 2020 à 15:23 |



Le K de Kréol
Si le Konnu disparaissait, la Konnaissance apparaîtrait » (Ibn Arabi). Nos kongénères ont tellement entendu ces derniers sièkles que les lettres n’avaient pas de signifikation qu’ils ont fini par le kroire, alors k’il existe un Alphabet de Base de 22 lettres primaires, apparu avek l’Univers, donnant leur sens aux mots et donk aux choses k’ils désignent. Toutes les langues humaines sont komposées à partir de cette Konnaissance disparue, que des évènements tragiks font parfois remonter à la surface kom c’est le Kas du K Kréol.

La lettre K est une lettre primaire signifiant en langage kosmologik, en mathématik kom dans toutes les langues le korps, l’atome ou la strukture. Les lettres C et Q en sont des variantes certes utiles mais sekondaires et akséssoires.

La délokalisation d’esklaves d’Afrik et de Madagaskar vers l’île Maskarin par la Kompagnie des Indes, l’engagisme du bassin asiatik vers les Maskareignes, la kolonisation, l’ékonomie et la politik oksidentales, le peuplement ethnik jusk’à ce jour, ont kréé la kiltir Kréol et le mot même de Kréol. Jean Leclerk dit des Rokettes, de Flakourt, Kouillard, sont les noms des premiers conkérants français de cette île paradisiak. Et pourtant, aukun d’eux kom aukun kommandant de bateau ni monark ou scientifik de l’épok ne connaissait la valeur universelle fondamentale de la lettre K.

La souffrance est un chemin de Konnaissance. Ces kolonisés ou ekspatriés ont dû mettre de kôté leur langue d’origine, ékouter la langue des kommandeurs, kolons ou direkteurs puis komposer avek. Ils ont alors perçu des sons et syllabes inkonnus désignant des interaktions et communikations dont ils étaient le centre malgré eux. Au fil de leur ekspériences, mélangeant leur savoir inné ancestral à celui de leurs maîtres édukateurs, ils ont fini par nommer leurs émotions et sentiments en créant leurs propres mots : maloya, kayamb, pikèr ou kabaré.

Le chok de la souffrance et de la violence a débouché sur l’éveil progressif de leur konscience, retrouvant à leur insu le sens primordial des lettres et de l’être. La liberté confiskée du korps a fait regermer au travers des générations la pensée universelle, juste et libre. Leurs descendants aujourd’hui se veulent Kréol donnant au monde et à leurs maîtres d’antan un exemple de connaissance pure et parfaite retrouvée, qui peut guider l’Humanité vers plus de sagesse et d’espérance. Voici grâce à l’Alphabet de Base le sens universel insoupçonné de mots kréols en apparence anodins :

KRÉOL : le corps(K) crée(R) le son(E) qui est l’esprit de l’Univers(OL)                                                          OTÉ : l’Univers(O) est la science(T) du son(E)                                                                                          
LÉLA : la lumière(L) du son(E) est la lumière(L) de la Vie(A)                                                      
KOSÉ : le corps(K) de l’Univers(O) est la naissance(S) du son(E)                                                         
KÈR : le corps(K) est la pensée(ER)

Mon Kosman sur l’origine du langage est exposé dans mon livre « Kosmos, un point c’est tout » disponible depuis peu à la libraire Le Matou Matheux à Trois Mares au Tampon et sur mon site internet « superforce.fr »

Nartrouv,

Pierre de Buch (se prononce Buque ou Buk qui en kréol jamaïkain signifie livre)

PS : je vous parlerai une prochaine fois du K de Kovid.

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